La question que certaines personnes peuvent se poser en lisant cette page est la suivante :

Je m’aperçois, tous les jours, au travail, dans la vie de tous les jours, qu’il est important de prendre le temps de comprendre les gens pour véritablement les comprendre. Le jugement est omniprésent dans notre société et il fait entrer les personnes dans des « cases » souvent erronées.

Erronées, car elles se basent sur le ressentit immédiat et non pas sur une analyse poussée.
Le test MBTI permet de « casser les codes et cases » habituelles et de mieux comprendre les personnes qui nous entourent via l’analyse de leurs résultats.

En tant que Chef de projet en Informatique, il est très important de comprendre qui sont des membres de son équipe. Il permet d’avoir des pistes sur la façon de manager les sujets avec un profil ciblé, mais également les projets, le travail, les conflits, etc…

Et je pense qu’il est important, pour mieux me comprendre, de connaitre mon profil.
Ce qui est intéressant également, c’est que le profil MBTI peut également aller plus loin que le domaine professionnel.
Il est possible de comprendre également en fonction de son profil :

• Ces points forts et faiblesses,
• Les relations amicales,
• Les relations amoureuses (eh oui… ça va jusque là et ce n’est pas fini)
• Les relations parents/enfants
• Pour plus de détails, je vous laisse consulter la page : https://www.16personalities.com/fr/types-de-personnalite

Mais attention, il ne faut pas oublier une chose : le profil MBTI n’est qu’un indicateur et bien entendu, certaines personnes ne vont pas se reconnaitre dans le profil, résultant de leurs réponses au questionnaire. Mais cela peut aider certaines personnes à mieux se connaitre et également à mieux comprendre les autres !

En conclusion, il ne faut pas oublier :

• Nous disposons d’un ensemble de possibilités, mais notre constitution, notre éducation, nous entraine à en privilégier certaines par rapport aux autres. C’est une tendance naturelle, nullement un choix conscient. Nous les utiliserons plus souvent, plus naturellement ; notons que préférer ne signifie pas exclure, et il nous arrive d’utiliser une préférence opposée, mais avec plus de difficultés.
• Du coup, ces habitudes s’ancrent tellement qu’il nous paraît incompréhensible que d’autres procèdent différemment.
• La tentation est donc grande pour un groupe de vouloir corriger les individus ne partageant pas les préférences majoritaires.
• Pourtant, c’est dans ces préférences non utilisées que réside notre plus grand potentiel d’énergie et de développement.