Bien le bonjour à tous.
Cet article va parler d’intelligence artificielle générative et d’analyse rhétorique.
Je le dédie à Clément Viktorovitch, ancien chroniqueur de l’émission télévisuelle Quotidien sur TF1, de Franceinfo, ainsi que de Canal+.
Attention, en préambule de cet article, je ne prétends pas être un expert en intelligence artificielle.
Je suis, aujourd’hui, un simple utilisateur. J’utilise activement plusieurs service comme Copilot de la société Microsoft dans le domaine professionnel ainsi que Gemini de la société Alfabet.
Personnellement, j’utilise également Mistral.
Mes compétences d’informaticien et les questions que soulève l’intelligence artificielle dans le secteur professionnel de l’informatique et dans les réflexions personnelles que j’ai en discutant avec mes connaissances, collègues, amis et famille, me poussent à rédiger cet article.
Je vous souhaites une bonne lecture.
Commençons.
Introduction
À l’ère de l’IA générative vient l’importance de l’analyse du discours et de l’étude de la rhétorique.
L’Internet, depuis sa création, est un mélange incroyable de connaissances partagées, construites, réfléchies, discutées collaborativement avec l’intégralité des différents internautes intéressés par cela.
Aujourd’hui encore, la connaissance n’a jamais circulé aussi rapidement.
À ses débuts, la connaissance était réservée à une élite, soit technique, soit intellectuelle.
La popularisation de ce medium, la commercialisation des biens sur ce support ainsi que l’arrivée des réseaux sociaux, des smartphones, des objets connectés, a transformé la connaissance en information. Cette information est difficilement identifiable, sourcée et vérifiable. Et son traitement devient, elle aussi, de plus en plus complexe.
J’ai bien conscience d’enfoncer des portes ouvertes en écrivant cela.
Ce n’est pas tout à fait vrai et ce n’est pas tout à fait faux non plus.
L’intelligence artificielle générative , les limites à connaitre.
L’IA change cette donne complètement. À travers des algorithmes et des modèles d’intelligence artificielle entraînés par des sociétés privées dont la culture, les racines, l’histoire sont « autocentrées » sur le monde occidental, le capitalisme, la culture anglo-saxonne et américaine. Cela amène une uniformisation de la pensée, des écrits et des échanges.
Là encore, je ne suis pas référent ou expert dans la matière.
Ainsi, vais-je essayer de sourcer cette idée via différents articles dont j’ai déjà pris connaissance, que j’aurais trouvés via mes recherches personnelles, mais également via différentes intelligences artificielles existantes sur le marché : Copilot basé sur le modèle ChatGPT d’OpenAI, Gemini de la société Alphabet et d’autres modèles existants.
Mes sources sont surtout d’ordre médiatique.
Je ne peux que vous conseiller de lire les articles suivants :
- https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/04/05/l-ia-n-est-pas-consideree-comme-une-solution-parmi-d-autres-mais-comme-la-solution-a-tous-les-problemes-de-l-organisation-du-travail_6226123_3232.html
- https://www.arcom.fr/actualites/larcom-reunit-des-experts-sur-les-impacts-de-lintelligence-artificielle-dans-les-domaines-de-la-creation-et-de-linformation
- https://simplescience.ai/fr/2024-01-24-limpact-de-lia-sur-la-creativite-humaine–a7dnzj
- https://orgaphenix.com/impact-intelligence-artificielle-vie-quotidienne/
Quelques articles scientifiques que Copilot m’a donnés !
(Je n’ai pas eu le temps de les lire donc j’ai demandé à Copilot un petit résumé)
- Cultural Bias and Cultural Alignment of Large Language Models : cet article explore comment les modèles de langage, comme ceux développés par OpenAI, présentent des biais culturels favorisant les valeurs des pays anglophones et protestants européens. Il propose des stratégies pour améliorer l’alignement culturel des sorties des modèles.
- AI Bias & Cultural Stereotypes: Effects, Limitations & Mitigation : cet article discute des différents types de biais dans les systèmes d’IA, y compris les biais culturels, et comment ces biais peuvent influencer les résultats produits par les modèles d’IA. Il examine également les impacts sociétaux de ces biais et propose des méthodes pour les atténuer.
- AI-Mediated Communication: Definition, Research Agenda, and Ethical Considerations : cet article définit la communication médiée par l’IA et explore comment l’introduction de l’IA dans la communication humaine peut transformer les interactions et soulever de nouvelles questions éthiques. Il souligne l’importance de reconsidérer les théories et cadres existants de la communication médiée par ordinateur à la lumière de l’IA.
Mais ça fonctionne comment l’IA générative ?
Revenons sur le fond de l’article et détaillons un minimum sur ce que permet l’IA générative.
Cependant, l’intelligence artificielle n’est pas à jeter.
Au contraire, selon moi, l’intelligence artificielle est une véritable révolution. Comme l’a été Google dans la recherche d’informations sur la toile.
C’est donc un outil, incroyable, disponible à tous, permettant de trouver les informations demandées via une interprétation d’une requête écrite et complexe. Cette interprétation du langage demande une analyse fine de la requête soumise par l’utilisateur à l’intelligence artificielle ainsi qu’une seconde analyse des contenus disponibles sur le web et sur les différentes sources annexées à cette intelligence (livres, écrits divers, papiers, bases de données ouvertes ou fermées). Pour cela, l’entreprise effectue un entraînement complexe à son applicatif.
C’est ce qui forme ce que l’on appelle vulgairement le modèle de l’intelligence artificielle générative.
Les usages de cette IA
L’IA générative permet donc de trouver rapidement et efficacement ce que l’on cherche, mais elle peut également aider à l’interprétation, l’analyse, la simplification, la vulgarisation de concepts plus ou moins complexes.
L’intelligence artificielle n’est pas qu’un simple outil de recherche, elle est aussi un outil de création.
Via le contenu qu’elle génère, que ce soit de l’image, du texte, du son, de la musique et bientôt de la vidéo, l’intelligence artificielle permet à tout un chacun de créer l’information ‘parfaite’, répondant à ses attentes.
Elle produit donc un contenu diffusable et potentiellement monnayable.
Par monnayable, j’entends diffusable pour attirer l’attention.
Diffusable pour potentiellement en tirer profit que ce soit via de la monétisation ou via de la reconnaissance, du « démarquage » par rapport à la masse des messages sur les réseaux, des articles sur les sites Internet (oui, celui-ci est aussi à considérer).
Bref, l’intelligence artificielle est un outil, rien de plus.
C’est un outil qu’il faut apprendre à maîtriser, à contextualiser, à évaluer, à corriger.
Cependant, il est important de bien comprendre comment cet outil « magique » s’alimente pour pouvoir fournir des écrits, des images et bientôt des vidéos.
Petit rappel, Je ne suis pas là pour détailler le concept technique et scientifique de l’intelligence artificielle. Je n’en ai pas les capacités, je ne suis pas expert dans la matière, mais je crois comprendre le fonctionnement basique de ces dernières.
La conception d’un modèle LLM est ce que nous pouvons appeler la boîte noire des entreprises spécialisées en IA génératives. Cependant, ces boîtes noires ont toujours les mêmes points d’entrée : la nécessité d’entraîner ces modèles via une quantité phénoménale d’informations en tout genre. Ainsi, les différents modèles d’IA disponibles sur le marché parlent de plusieurs milliards de paramètres dans leurs différents modèles. Ils existent plein d’autres critères qui permettent également d’évaluer les différents modèles d’IA génératives existants.
Je vous invite à découvrir le site : https://artificialanalysis.ai/models.
Ce site permet une analyse fine via différents critères (la qualité, la rapidité de traitement, le coût d’utilisation, la latence…) de chaque modèle disponible actuellement sur le marché.
Il est important de bien comprendre que ces paramètres sont le cœur de la donnée disponible par les différents modèles. L’interaction de l’intelligence artificielle vis-à-vis de ces données et paramètres joue les différents critères est ce que nous avons défini plus haut. Elle forme ce que j’ai appelé : « la boîte noire ».
Pour interroger des modèles d’IA, il existe maintenant une « science » du prompt.
Qu’est-ce qu’un prompt en IA générative ?
Un prompt est une instruction ou une question que vous donnez à une intelligence artificielle (IA) pour qu’elle génère une réponse. Imaginez que vous parlez à un assistant très intelligent qui peut écrire des textes, créer des images, ou même composer de la musique. Pour obtenir ce que vous voulez, vous devez lui dire clairement ce que vous attendez. Cette instruction que vous donnez à l’IA, c’est le prompt.
Exemple concret
Supposons que vous voulez que l’IA écrive une histoire sur un chat qui voyage dans l’espace. Vous pourriez donner le prompt suivant : « Raconte-moi une histoire sur un chat qui devient astronaute et explore les planètes. »
L’IA va utiliser ce prompt pour comprendre ce que vous voulez et générer un texte qui correspond à votre demande.
Pourquoi c’est très important ?
Le prompt est crucial parce qu’il détermine la qualité et la pertinence de la réponse de l’IA. Plus votre prompt est clair et précis, la meilleure sera la réponse de l’IA générative. C’est un peu comme poser une question à quelqu’un : si votre question est vague, la réponse risque de l’être aussi. Mais si votre question est précise, vous obtiendrez une réponse plus utile.
En fonction de votre prompt, vous allez interagir différemment avec les différents paramètres et l’algorithme du modèle d’IA que vous êtes en train d’utiliser.
Maintenant que j’ai terminé cette introduction, revenons à Clément Viktorovitch.
Clement Viktorovitch et le pouvoir rhétorique !
Afin d’aider les différents lecteurs de cet article, je vais donc demander via le prompt suivant, qui est ce Clément Viktorovitch.
Prompt utilisé :
“Écris-moi un paragraphe de moins de 200 mots, une présentation de qui est Clément Vicktorovitch, pourquoi c’est une personnalité reconnue par les médias et quelles sont ces compétences connues et reconnues.”
La réponse de ChatGPT :
Sur YouTube :
- https://www.youtube.com/@Clemovitch – Sa chaine principale.
- https://www.youtube.com/channel/UC8mUzE3fPD2ocoR8A-Pm-Fw – Sa chaine de replay de sa chaine Twitch.
Sur Twitch: https://m.twitch.tv/clemovitch/home
Pour ma part, l’analyse rhétorique ne me semble pas chose aisée. Elle peut se comprendre, elle peut se pratiquer, mais pas facilement « à chaud ». Comme tout art, elle demande une pratique, répété et assidu avec l’approbation d’un professeur qui guide ce qui est juste et ce qui est faux.
Il est très difficile pour un interlocuteur de faire une analyse rhétorique des différents procédés utilisés pendant une conversation tout en étant concentrés sur le fond de la conversation afin de pouvoir continuer l’échange ou le suivre.
Notre humeur, nos idées, notre avis sur la question et/ou la discussion avec l’interlocuteur ne nous permettent pas de faire cette analyse approfondie en temps réel. C’est pour cela que les différentes interventions que tu fais, sur les plateformes telles que Twitch en live et précédemment France info en différé, permettent aux auditeurs de poser chaque mot de la conversation. Via ton analyse, tu « ralentis » le temps de la conversation.
Certains diraient que tu t’attardes sur des détails insignifiants, ce n’est pas mon cas. Cette diminution de la vitesse permet de comprendre chaque mot du discours ou de la conversation. Ces temps d’analyse « à froid » permettent d’interpréter, d’analyser et de comprendre le fond de la pensée de l’interlocuteur par les différents procédés rhétoriques utilisés.
Cette analyse « à froid » permet aussi de déceler les erreurs volontaires ou non du discours de l’interlocuteur.
Tu appelles de tes souhaits à prendre les armes de la rhétorique afin de décrypter les éléments de langage que toute personne peut utiliser. Il existe dans ton livre énormément de figures de style permettant de faire passer des idées et tu listes les manières de faire de la communication sur ces figures rhétoriques.
L’objectif de cet article est de répondre à cette question :
Selon toi Clément, et selon vous, chers internautes : est-ce que l’intelligence artificielle peut aider à l’analyse rhétorique des interventions aussi bien à chaud qu’à froid ?
Aujourd’hui, l’intelligence artificielle n’est pas encore en capacité, selon moi, de faire cette analyse précise en temps réel (à chaud). La rhétorique est un art, elle est donc une connaissance.
L’intelligence artificielle générative, pour pouvoir faire ce qu’on lui demande, a besoin de beaucoup de « matière », de connaissances, d’exemples sur le sujet. Ces derniers doivent être vérifiés et approuvés par plusieurs sources reconnues pour leur sérieux sur ce sujet.
Or, il n’existe pas, selon moi, une base de connaissances disponible, vérifiée et approuvée de différents discours, conversations qui ont subi une analyse fine rhétorique des différentes figures de style, procédés rhétoriques utilisés. Je ne crois pas connaître de communauté de professeurs, de philosophes et de personnalités reconnues sur cela et… c’est bien dommage. (À part peut-être le Discord de Clément ?)
Ce qui revient à donner cette analyse à tous : comme tu le souhaites, Clément.
Tout internaute doit pouvoir effectuer ce travail et potentiellement le communiquer comme tu le fais. Ta grande force, c’est ta connaissance aiguë de la rhétorique… mais si nous pouvions la faire grandir tous ensemble ?
Retournons sur l’IA. Je pense qu’un prompt précis peut potentiellement déjà aider à l’analyse rhétorique d’une conversation, d’un discours. Attention, de nouveau, je ne prétends pas avoir écrit ce prompt.
Il serait complexe à rédiger, mais selon moi, pas impossible. Je pense que l’intelligence artificielle est comme tout outil, améliorable et pouvant répondre à cet objectif : analyser en temps réel la rhétorique utilisée dans une conversation.
Ainsi, dois-je soumettre cette pensée, ces questions, à Clément et aux internautes :
- Qu’en pensez-vous ?
- Pensez-vous, comme moi, que l’intelligence artificielle peut nous aider dans cette tâche d’analyse rhétorique ?
- Pouvons-nous confier l’analyse de la rhétorique d’un discours politique ou d’une banale conversation personnelle à une intelligence artificielle ?
- Et, surtout, serait-ce une bonne idée ?
J’ai bien conscience que cet écrit couché sur le clavier peut amener à moyen voire court terme, une perte d’autonomie financière de Clément et ce n’est pas du tout mon souhait.
*Minute publicité*
Clement est l’auteur de deux livres disponibles dans toute librairie respectable : « Le pouvoir rhétorique » et dernièrement « L’art de ne pas dire » qu’il joue également sur scène actuellement . Je vous invite à aller les lire.
Clement est également en tournée dans toute la France et n’hésitez pas à réserver une place. Je n’ai pas le temps malheureusement d’y assister moi-même à cause de mon emploi du temps, mais pour avoir lu le second livre, je pense que cela doit être savoureux de le voir joué sur scène.
Clement a également deux chaines YouTube et une chaine Twitch, n’hésitez pas à vous abonner et à souscrire à sa chaine twtich.
*Fin de la minute*
L’intelligence artificielle générative, je crois, pourrait être un outil formidable pour redonner aux citoyens et citoyennes, aux femmes et aux hommes la capacité d’analyser en temps quasi réel, les procédés rhétoriques de n’importe quelle conversation, discours et conversations.
Avec des erreurs possibles, certes, mais comme toujours avec l’intelligence artificielle : il ne faut pas croire aveuglément ce qu’elle donne, fourni, comme LA vérité absolue. Cela reste un outil, pas LA vérité.
L’analyse des figures rhétoriques et de style utilisées, l’analyse des « faits » invoqués dans les discours et conversations, l’analyse de la résonance des mots via une intelligence artificielle peut être un très bon début pour permettre aux citoyens, un commencement d’analyse sur ce qui est dit par un interlocuteur.
Je vois également, dans cette expérience de pensée, la possibilité de créer un site, appelons-le une base de données, regroupant l’intégralité des discours politiques, médiatiques dans leur analyse rhétorique.
Il existe Wikipédia, site Internet ô combien utile, regroupant l’intégralité des savoirs encyclopédiques sur des sujets généraux et précis. Ce site est géré par des millions d’internautes, soucieux du savoir encyclopédique.
Il pourrait y avoir un autre site, appelons-le « wiki speech » qui, pour chaque discours de personnalités médiatiques et/ou politiques, proposerait une analyse rhétorique précise et contre-vérifiée par les internautes . Ainsi, cela permettrait de remplir l’objectif souhaité par Clément : « rendre le pouvoir au peuple par la rhétorique ».
Je ne prétends pas à la paternité de cette idée. Sans doute, d’autres internautes que moi ont eu cette idée, travaillent cette idée intellectuellement, concrétisent cette idée par des ébauches de solutions. Si vous en connaissez, je serai ravi de découvrir ces solutions. N’hésitez pas à commenter cet article pour échanger sur ces dernières.
Bien entendu, je sais que cette idée de site, base de données est un fantasme sans doute orienté « à gôche » pour reprendre l’idée des boîtes du Youtubeur Usul, mais je vois, à cette idée utopique, plusieurs bénéfices pour la société tout entière :
Note : ce que j’appelle «discours» dans cette liste correspond aussi bien au discours politique qu’aux conversations banales.
- L’identification des procédés rhétoriques utilisés
- L’apprentissage des procédés rhétoriques
- Le décryptage des discours
- L’analyse du style de discours (mobilisation, sensibilisation …)
- L’identification des « empreintes rhétoriques » du discours
- L’identification des sentiments appelés ou véhiculés par les discours (joie, fierté, peurs, sérénité, tristesse …)
- Le renforcement des citoyens et citoyennes à l’analyse des discours
- Le décryptage de la langue de bois
- L’analyse de la sonorité des mots
- La différenciation de ce qui est un ressenti personnel, d’un fait dans la conversation
- La diminution potentielle des fake news des dirigeants et personnalités médiatiques
- Une vérification des « faits » déclarés dans les discours et interventions politiques et médiatiques en les « sourçant » et en laissant l’interlocuteur juger du bien-fondé de la source.
La rhétorique, comme le dit Clément dans nombre de ses interventions, est utilisée quotidiennement par tous. Dans notre vie professionnelle, dans notre vie politique, dans notre vie personnelle. Je crois que l’analyse rhétorique permet de révéler le début des véritables intentions, idées, avis sur un sujet d’un interlocuteur.
Je souhaiterais mettre une citation de la série Chernobyl de la chaine HBO qui me tient à cœur.
« Être scientifique, c’est être naïf. Nous sommes tellement concentrés sur notre quête de vérité que nous oublions de considérer combien peu de gens veulent réellement que nous la trouvions. Mais elle est toujours là, que nous la voyions ou non, que nous choisissions ou non. La vérité se moque de nos besoins ou de nos désirs. Elle se moque de nos gouvernements, de nos idéologies, de nos religions. Elle attendra, pour toujours. Et c’est enfin le don de Tchernobyl. Là où je craignais autrefois le coût de la vérité, je me demande maintenant seulement : quel est le coût des mensonges ? » – Lien vers la vidéo Youtube en version originale – Regarder cette série !.
J’aimerais la réutiliser pour l’appliquer à la rhétorique.
« Être humain, c’est vouloir convaincre. Nous sommes tellement concentrés sur cette volonté que nous oublions de considérer combien peu de gens comprennent réellement les éléments du langage que nous utilisons pour arriver à cet objectif et l’utilisation de la rhétorique pour arriver à cette fin. Mais la rhétorique est toujours là, que nous la voyions ou non, que nous le voulions ou non. Elle sera toujours là. Et c’est enfin le don que m’a offert Clément Viktorovitch. Là où je craignais autrefois la compréhension de la rhétorique, je me demande maintenant seulement : comment ne l’ai-je pas appris plus tôt et quel est le coût de cette ignorance ? »
Point important : la rhétorique ou plutôt l’analyse rhétorique n’apporte pas la vérité. Elle permet juste de décrypter les procédés rhétoriques utilisés pour convaincre.
Je ne sais pas si cet article recevra une quelconque réponse de Clément Viktorovitch et sincèrement j’en doute…
S’il a répondu à ces questions dans une intervention, un live déjà présent sur YouTube ou sur Twitch, là encore, n’hésitez pas à commenter cet article pour me donner l’information pour que je puisse la consulter moi-même.
J’espère que cet article vous aura plu.
Il répond, en tout cas, à deux besoins, questionnements que j’ai actuellement : mon renforcement sur l’analyse rhétorique, et comment l’IA peut transformer notre société !
Je ne sais pas si je ferai d’autres articles similaires dans le futur, cela dépendra de la réaction qu’engendrera cet article. Je n’arrive toujours pas à savoir, après l’avoir écrit, s’il est qualitatif ou non.
Autres nouvelles, j’ai quitté les terres de (anciennement Twitter), ainsi que de Facebook. J’ai préféré rejoindre les terres du papillon bleu (blueSky).
En cette fin d’année 2024, je vous souhaite à tous et à toutes de très bonnes fêtes de fin d’année .
Pour ma part, dans quelques jours, je m’en vais découvrir l’Islande et j’espère revenir avec des aurores boréales, des étoiles plein les yeux.
Et comme dit la chanson : « Let it Snow , let it Snow , let it Snow ».
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